Première soirée Oulipo de la saison hier à la Bibliothèque nationale. Consacrée évidemment à Oskar Pastior, qui vient de mourir. Je m'étais retenue jusque là de lire ce poète, parce que je ne suis pas germanophone. Mais l'entendre les réciter (il existe des enregistrements) m'a donné envie de m'y mettre. Il m'a rappelé un peu certains essais «radiophoniques» de Tardieu.
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